
Coup de tonnerre magistral – ETH vient de regagner les 4000 $ ; quelle est la prochaine étape ?
Nous devons parler de l'ETH.
L'Ether (ETH) vient de franchir la barre psychologique des 4000 $, déclenchant un vif débat parmi les investisseurs qui estiment que son précédent record historique n'est pas seulement à portée de main, mais sur le point d'être dépassé. Cet impressionnant rallye ne repose pas uniquement sur un effet de mode ; il s'appuie sur une convergence de facteurs favorables : une activité on-chain record, un changement de stratégie institutionnelle et un contexte réglementaire favorable. Analysons pourquoi cela se produit et ce qui pourrait se passer par la suite.
À savoir
● Boom on-chain : Ethereum connaît son plus haut niveau d'activité réseau depuis plus d'un an (1,87 million de transactions quotidiennes), prouvant ainsi son utilité dans le monde réel au-delà de la simple spéculation.
● Wall Street s'enflamme : les grandes institutions investissent massivement dans l'ETH via des ETF (plus d'un milliard de dollars d'entrées), encouragées par des avis favorables, les progrès réglementaires et la peur de rater le train (FOMO).
● Alors que le Bitcoin est considéré comme "l'or numérique", les capacités des contrats intelligents Ethereum offrent une plateforme pour les innovations futures.
Les indicateurs on-chain de l'ETH sont haussiers
● Sommet annuel de transactions quotidiennes : le réseau a récemment traité plus de 1,87 million de transactions en une seule journée, soit le niveau le plus élevé depuis plus d'un an. Il ne s'agit pas d'un simple accident statistique, mais l'indicateur clair d'un écosystème florissant. Des transferts de stablecoins aux protocoles DeFi en passant par les places de marché NFT, l'utilité dans le monde réel est en plein essor.
Source : etherscan
● ATH des flux entrants dans les ETF Ethereum : selon les données de Farside, les ETF Ethereum ont dépassé le milliard de dollars d'entrées nettes le 11 août, avec l'ETHA de BlackRock en tête. Les entrées cumulées dans les ETF Ethereum ont également atteint un niveau record. Cet afflux massif de capitaux institutionnels génère une pression acheteuse constante et confirme l'ETH comme un élément essentiel du portefeuille des plus grands acteurs mondiaux.
Source : Farside
L'ETH est la nouvelle coqueluche (le FOMO est de retour, et à l'échelle mondiale et institutionnelle)
Les ETF Bitcoin américains n'ont pas seulement pris de l'ampleur, ils ont connu une croissance plus rapide que toutes les catégories d'ETF qui les ont précédés, atteignant 10 milliards de dollars d'actifs sous gestion en un temps record. Ce succès a brisé les barrières qui empêchaient les actifs numériques d'entrer dans la finance traditionnelle, ouvrant ainsi la voie aux ETF Ethereum pour susciter un intérêt similaire de la part des institutions.
● Les mastodontes de l'actualité financière comme CNBC ou Bloomberg rendent l'information sur l'ETH accessible au grand public.
● Lorsque l'ETH a regagné le niveau de 3800 à 3900 $, la peur de rater le train (FOMO) s'est emparée des investisseurs. Lorsque des personnalités influentes telles que Tom Lee de Fundstrat, Arthur Hayes (ancien PDG de BitMEX), Joe Lubin (cofondateur d'Ethereum et PDG de ConsenSys), et Eric Trump (fils de Donald Trump) ont publiquement salué ce rallye, cela a ajouté de l'huile sur le feu et créé une puissante boucle de rétroaction qui a fait grimper les prix.
● Harvard a acheté pour plus de 116 millions de dollars d'ETF Spot Bitcoin. Le tabou autour de la crypto dans la finance traditionnelle se délite de plus en plus.
● Les trésoreries ETH ont acquis 876 000 ethers rien qu'en juillet et détiennent désormais environ 0,9% de l'offre, générant une nouvelle demande pour le deuxième plus important actif crypto.
● Des sociétés cotées en bourse, telles que Fundamental Global (FGF), ont annoncé des stratégies massives dans le domaine des cryptomonnaies, axées sur Ethereum.
● Le plan 401(k) de Trump vise à permettre aux investisseurs dans des fonds de retraite d'accéder à des actifs alternatifs, notamment des cryptomonnaies telles que Bitcoin et Ethereum, afin de diversifier davantage leur portefeuille. Si elle est adoptée, cette politique pourrait libérer des capitaux importants, même si les obstacles réglementaires et son adoption progressive signifient que son impact complet pourrait prendre des années à se concrétiser. Pourtant, cette simple proposition a suscité un regain d'optimisme sur le marché crypto.
Bitcoin n'est plus seul – Wall Street mise gros sur Ethereum
Pour les investisseurs de Wall Street, l'investissement dans Ethereum est particulièrement intéressant :
● L'ETH est désormais l'un des rares actifs numériques accessibles via les ETF Ethereum, un véhicule d'investissement réglementé et familier.
● Contrairement au BTC, l'ETH peut être staké pour générer un rendement passif, ce qui en fait un actif productif et créateur de revenus.
● L'ETH n'est pas seulement une réserve de valeur, mais aussi la couche technologique fondamentale d'une nouvelle économie numérique, une plateforme sur laquelle s'appuyer pour construire.
Alors que le Bitcoin, aujourd'hui à 121 800 $, consolide son statut de 6ème plus important actif au monde en termes de capitalisation boursière, il ne fait plus parler de lui uniquement auprès des géants de l'économie : même la vénérable université Harvard commence à s'y intéresser. Pour beaucoup, le Bitcoin a tourné la page de ses années "Far West", ces périodes de gains fulgurants et bouleversants appartenant sans doute au passé. Ce changement de perception pourrait réorienter les capitaux spéculatifs vers Ethereum, souvent perçu comme la nouvelle frontière du potentiel de croissance, grâce à sa polyvalence technologique. La question n'est plus de savoir si l'ETH va retrouver ses sommets historiques, mais jusqu'où il pourra les dépasser.
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Avertissement : Les opinions exprimées dans cet article le sont à titre informatif uniquement. Cet article ne constitue pas une recommandation des produits et services présentés, ni un conseil en matière d'investissement, de finance ou de trading. Il convient de consulter des professionnels qualifiés avant de prendre toute décision financière.