Un énième ETF crypto vient d’être déposé et il concerne cette fois-ci le jeton AVAX, natif de la blockchain d’Avalanche.
Un ETF AVAX soumis à approbation
Les ETF crypto se succèdent ces dernières semaines avec de plus en plus de cryptomonnaies concernées par ces fonds négociés en bourse. Même si les premiers (hormis BTC & ETH ) attendent encore leur approbation et ont même été repoussés à plus tard , d’autres ne font leur apparition que maintenant. La liste est maintenant de plus en plus longue puisque VanEck vient officiellement de soumettre un ETF AVAX pour approbation par la SEC.
Avalanche, 16ème plus grande cryptomonnaie par market cap, vient s’ajouter à une très longue liste qui pourrait encore s’élargir étant donné la dynamique favorable à la prolifération pour ce genre d’initiatives. De son côté, VanEck rajoute une autre cryptomonnaie a sa liste bientôt interminable de fonds négociés en bourse crypto qui attendent leur approbation.
Source : X.A l’image des autres altcoins concernés par un ETF crypto, AVAX, jeton natif d’Avalanche, devra désormais patienter sagement en attente d’une décision qui devrait probablement tarder. Pour rappel, des cryptomonnaies comme SOL, XRP ou encore HBAR attendent encore une réponse définitive d’une SEC désormais plus favorable à la crypto .
Un cours globalement inchangé
Malgré cette officialisation de la part du spécialiste en ETF de chez Bloomberg James Seyffart, le cours d’AVAX n’a pas réellement bougé pour le moment. Alors que des rumeurs avait déjà circulé il y a quelques jours au sujet de cet ETF crypto à venir, AVAX ne semble pas être haussier en raison de cette demande d’approbation.
Malgré tout, grâce à la hausse de ce vendredi, le jeton natif d’Avalanche profite tout de même d’un Momentum journalier positif. Au final, le cours d’AVAX se négocie en hausse de 4,32 % alors que son prix se revalorise à 18,82 $. Ce, après un sommet journalier situé à 19,25 $. Pour cette fois-ci, AVAX semble dépendre davantage des gains du BTC que de la demande de VanEck.
Morale de l’histoire : quand y en a trop, on commence à perdre le compte.
